Aux tard années 60, des étudiants dans les pays impérialistes dans le monde entièr ont démontré leur internationalisme pour la plupart dans leurs protestations contre la genocide impérialiste en Viet Nam. Le MIM a écrivait sur l'histoire Amérikain sur ses mouvements, par des articles sur les Students for a Democratic Society (SDS), et les Weatherman, an mouvement sous terrain qui se brisé du SDS. Ici nous examinons le mouvement éstudiantine dans la France, qui était, comme d'autant d'autres mouvements politiques du premièr monde, beaucoup dirigé et influencé par l'anarchisme
Daniel Cohn-Bendit étaient un "leader" étudiant et théoricien anarchiste dans le révolt étudiant -travailleur du 1968, qui a mêlée un dizaine de milliers des étudiantes dans "la grêve générale la plus grande dans l'histoire de la France"(1). Obsolete Communism: The Left Wing Alternative c'est le révue du Cohn-Bendit sur le mouvement étudiant francais. Par le critique de ce livre, écrit quelques semaines après les évenements du mai, le MIM crée une critique de l'analyse anarchiste du Cohn-Bendit et le mouvement il a formé. Nous discutons aussi l'âge comme contradiction principale dans la nation opprimante dans les pays impérialistes et la rôle des étudiants dans les pays du capitalisme tardif.
Cohn-Bendit a mis la rébellion étudiant en France dans
une contexte internationale, en désignant des et comparant avec
des luttes pareils en Berkeley et Berlin . Plus particulièrement
il a developpé de l'expérience de l'union étudiante
allemande, SDS (Sozialistischer Deutcher Studentbund), en le soutenant
pour son appel pour la réforme universitaire. Selon Cohn-Bendit,
les étudiants francais étaient decus de leur propre union,
l'UNEF (Union Nationale des Etudiants Francais), et aussi par les alternatifs
de la gauche qui ont "dévoué toute leur energie pour faire
une analyse scientifique marxiste de la situation - qui malgré leur
aire appris ont faisait peu pour mobiliser les étudiants pour leur
propre lutte.(2) [NTD: Tous citations ici sont retraduit de l'anglais]
(2)
Les premières manifestations étudiantes de cette année se commencait en fevrière, et ils se centrait sur les restrictions de l'accès aux dortoirs féminines. Des militantes à la campus du Nanterre de l'Université de Paris ont vu comme leur responsabilité de "libérer les prisoniers". Cela a conclu par l'entrée par la force des étudiantes mâles dans les dortoirs féminins. (3) Alors pendant que les anarchistes, y compris Cohn-Bendit, disent que leurs mouvements n'ont pas des chefs, cette histoire démontre que fait que la rébellions étudiant était dirigé - et dirigé par des hommes. Tout à travers Obsolete Communism, Cohn-Bendit ne parle pas de la rôle des femmes dans la lutte ni de la sexe de tout.
Dans le campus où Cohn-Bendit a étudié, Nanterre, des grêves étudiants massifs (environ 10-12,000 étudiant(e)s) se dirigé pour "améliorer les conditions du travail" (c'est à dire pour réduire les salles sur-chargés). En janvier Cohn-Bendit montrait son premier et non dernier amour du caméra en appellant la ministre de la jeunesse un "Hitler jeunesse." Lorsque se commencait la procédure d'extradition contre Cohn-Bendit (un citoyen allemand) et son expulsion de l'université, les étudiants manifestait.(4) Le Président de l'Université s'oblige d'appeller la police -- et les étudiants les expulsait du campus. Avec cette petite victoire "les étudiants ont appris que l'université cache une main de fer sous un gante de laine"(5)
Les manifestations éstudiantine ont trouvé leur source et rhythme dans l'escalation de la guerre en Vietnam. Les étudiants s'opposé contre cette guerre, "non seulement car elle représent une essai des américains de commander le monde, mais aussi parce que les bureaucraties 'socialistes' sont près à rien faire et le laisser passer."(6) Les étudiants francais, selon Cohn-Bendit, ont pris de "l'action directe contre les représentants de l'impérialisme américain en France."(7) Mais soucieux d'éviter la perte de la soutien de l'aristocratie du travaille francais, en principe patriot, Cohn-Bendit n'ose pas à faire rappeller de l'impérialisme francais qui ont perdu déjà leur propre guerre en Vietnam et le fait que les usines du Renault, Dassaut, et Thomson feront une cible aussi correcte pour une bombe qu'un bureau de l'Amerikan Express.(8) Ici Cohn-Bendit réussit d'ignorer l'aristocratie de travaille et le conflit inter impérialiste.
Malgré leur diversité la rôle sociale commun aux étudiantes formait le fondement de leur soutien et manifestation -- aussi bien que ses limites -- pour la guerre d'indépendance en Algérie contre la France aux annés 50 tardifs, et aussi pour leurs manifestations en 1968.
La classe ouvrière francaise était notamment absente dans les manifs contre la guerre en Algérie. Comme d'autres révisionistes qui ne peuvent pas voir la rôle de l'impérialisme dans la formation des aristocraties du travaille, Cohn-Bendit accuse les communistes comme cause de cette absence: "L'absence des manifestations organisés à l'extérieur de l'université se trouve juste avant la porte de la partie communiste -- il n'avait ni la volonté ni la capacité d'organiser de la résistance à la guerre pour soutenir les révolutionnaires d'Algérie."(9)
Mais ici Cohn-Bendit tient la Partie Communiste responsable de tous les limitations des travailleurs francais -- comme si cette partie avait le pouvoir de forcer les travailleurs de ne faire pas des manifs. Cela dit, MIM ne soutient pas la Partie Communiste Francais (PCF). L'organisation qui se déclare Maoiste en France, l'Union Jeunesse Communiste marxiste léniniste, appellait le PCF le PCF(R) - pour révisionniste.(10) En suivante la ligne d'économisme des travailleurs, le PCF était largement silent et faisait peu pour s'opposer à la guerre en Algérie. Mais l'existence d'une partie révisionniste qui représente les intérêts des travailleurs impérialistes n'est ni la source ni l'obstacle de l'action anti-impérialiste. Les travailleurs francais ont au un intérêt matérielle dans le maintien de l'ordre impérialiste -- et le PCF soutenait cet intérêt matérielle.
La différence entre 1968 et 1954? Les étudiant(e)s jeun(e)s "qui pour la plupart n'était pas des membres des syndicats du travaille se montrait plus militant et persistent." Alors Cohn-Bendit a presque disait que l'âge était la contradiction principale dans la société francais ! "La jeunesse contemporain n'est pas jalous, mais degoûté, par la vie morte et vide de leurs parents. Ce sentiment commencait parmi les enfants bourgeois et maintenant se diffuse dans tout niveau de la société."(11)
Cohn-Bendit designe comme source du radicalisme parmis les travailleurs jeunes "une guêle plein de rien"(12) et leur "opprime et misère directe"(13) Mais les jeunes etudiants ont partagé avec les autres étudiants la possibilité d'embracer l'Etat impérialiste in toto et de jouir de ces bénéfices. Ainsi les deux se trahit leur intérêts matérielles propres lorsqu'ils se manifestaient contre l'Etat -- et leur unité se trouvait dans leur jeunesse.
Des étudiants ont, bien entendu, plus de la liberté pour participer dans les actions politiques que leurs homologues travailleurs. Dans la langage sexiste du Cohn-Bendit: "Il n'a que rarement une femme et des enfants à nourir. Il peut, s'il veut, prendre des positions politiques extrêmes sans se mettre en danger personnelle"(14) Alors c'est logique que la rébellion étudiante commencera d'aborde par les étudiants suivit ensuite par des travailleurs aristocrates, et cela seulement si ces premiers ont eu quelques succès, car l'aristocratie du travaille a plus de perdre (dans le court-terme) que la bourgeoisie et petit bourgeoisie.
Le Mouvement du 22 Mars a dédié le Mai 2-3 pour enseignement sur l'impérialisme, mais au lieu de faire cela ils ont construit des barrages contre le rumeur d'une attaque par la société étudiant de l'extrême droit Occident. Le président de l'université a déclaré que Nanterre soit fermé et que les chefs du mouvement, y compris un trotskyite fameux, apparaîtra devant un tribunal de l'université à la campus du Sorbonne à Paris(15)
Les dirigants de l'Université ont cru que cela détruira le mouvement, car les radicaux étaient encore minoritaires. Mais ceux qui soutenait le Mouvement du 22 Mars se manifestaient sur la place de la Sorbonne en solidarité avec les chefs du mouvement, rejoigné par des centains. Le Rectorat appellé la police qui, suivant leurs ordres de balayer le cour, ont filé les étudiants par des vingtaines dans les camions...
Cohn-Bendit suscite son approbation pour la foule spontane qui a insulté la police et lancait des pierres contre leurs camions en chantant "libérer nos camarades!" Il désigne les barrages qu'ils ont construit comme une preuve que la masse n'a pas besoin d'un avant garde, mais qu'il soit parfaitment capable de s'engager dans la lutte eux mêmes. Certes la brutalité bien publicisé de la police a gagné de la sympathie publique pour les étudiants, particulièrement à Paris: Ce soutien a duré pendant le hebdomadaire, qui était marqué par des barrages et batailles de la rue. Les étudiants qui manifestait avec de la violence avait trois exigences principales: la libération des manifestants en prison, que la police abandonne l'université, et la ré-ouverture de l'université.
Cohn-Bendit approprie une certain rhetorique revolutionnaire dans
son pittoresque perspective sur la lutte étudiantine. Comme
Mao, Cohn-Bendit explique que le peuple apprennent la théorie de
la revolution par la pratique revolutionnaire. Mais au contraire
du Mao -- et tout autre révolutionnaire qui gagnait -- Cohn-Bendit
ignore l'imporance d'une partie qui dirige et dans la théorie et
par la pratique. Quant aux hésitations du radicalisme parmi les
étudiants, Cohn-Bendit batte le rétraite vers l'idéalisme
anarchiste:
"Il y avait a peu près 35,000 manifestents présentes
aux Champs Elysées et -- mirable dictu -- ils se tenait sans aucun
chef quelconque".(16) Malheureusement les officieux bureaucrates de l'UNEF,
union étudiant inutile, qui étaient frustré dans leurs
essais de saisir le mouvement, ont interpellé l'aide des bureaucrates
du syndicat des Halles aux vins, et dans les manifs qui suivait ont
pu divertir le mouvement de son fin originale: de régagner la Sorbonne
… tout organisation hiérarchique et bureaucratique va nécessairement
pervertir toutes les activités dont ils participent pour leurs propres
fins."(17) Les syndicats et l'UNEF ont opposé le radicalisme, non
pas car ils étaient bureaucratique, mais parce qu'ils ont soutenu
l'agende de leurs adhèrants. Les anarchistes parle de la "bureaucratie"
comme si il étaient une idéologie ou ligne politique indépendant.
Mais de fait la bureaucratie est que la forme et non pas la matière
d'un mouvement quelconque. Alors quand l'anarchisme se trouve en échec
cet échec ne dois pas être la faut de la "forme" -- mais la
faute des erreurs dans la pensée anarchiste.
Lorsque la présidence de la Sorbonne a disait que l'université se réouvrira sous la protection de la police, les étudiants ont organisé un "boycott-instruction". Derrièr les barrages, ils faisaient des expériences sur la démocratie directe en pratique. Certains profs ont regagner les lignes des étudiants en dénonancant l'opprime de la police, pendant que le syndicat des enseignants trouvait un certain unité avec la comité grêviste étudiant. Dans leur meilleure essai approximatif de l'indépendance du pouvoir les étudiants ont organisé une "université de l'été" qui aura comme tâche le dévoloppement des meilleures methodologies pédagogiques, des séminaires politiques, et l'organisation des expositions artistiques.
Des professions libérales aussi se grêvait, aussi bien que les cinématograpes et d'autres. Cohn-Bendit les ignore, car il n'a pas identifé correctement le coueur de la contradiction, qui n'était pas sur les salaires mais sur l'idéologie. La question n'était pas la contradiction entre les capitalistes et travailleurs mais la contradiction entre la jeunesse et ceux qui étaient plus vieux et plus confortable.
Cohn-Bendit note que la lutte n'est pas seulement sur la rédistribution de la richesse, mais il n'a pas les outils de la science matérialiste nécessaire pour expliquer pour-quoi ni pour détailler les conséquences. Il dit "libéraux, bureaucrates Stalinistes, et réformistes ont tous en commun la tendance de réduire les maux du capitalisme à l'injustice économique. Et quand ils appliquent leur critique du capitalisme aux autres domains, ils impliquent simplement que tout sera résolu simplement par une partage plus juste de la richesse."(18)
A part son synthèse tout-à-fait incorrecte du stalinisme, Obsolete Communism n'a aucune reférence à la Grande Chinoise Révolutions Culturelle Proletarian -- qui était pourtant contemporain. La Révolution Culturelle avait lieu précisement à cause du fait que la rédistribution de la richesse seule n'est pas le fin de la lutte.
Deux-cent-mille travailleurs se manifestaient avec le CGT. Le mouvement du 22 Mars et les Comités d'Action se commencait avec beaucoup moins, mais s'augmentait pendant tout le jour. Dizaines de milliers marchait sur la Bourse du Paris, saisi le bâtiment, et le brûlé. Cohn-Bendit écrivait: "Paris était dans les mains des manifestants. La révolutiona a se commencait! Tous le mond voulait que ca continue. Mais ensuite les hommes politiques se montrait..."(20)
Cohn-Bendit accuse les trotskyites pour détourner les étudiants
vers le quartier latin, malgré le fait que ce quartier était
la plus occupé par la police. Il dit aussi "il était l'UNEF
et PSU qui nous a empêché de capturer le [moins bien gardé]
Ministre de la Finance:::"(21) etc. Mais Cohn-Bendit ne prend aucune responsabilité
pour le chaos d'un mouvement étudiant conséquent de l'absence
d'une ligne politique unifié.
La révolution se perdait selon Cohn-Bendit dans une seule nuit. "Quand le 24 mai se finit, la révolution était encore possible -- ne rien semblait décidé pour ou contre. Mais le 25 le fait que nous n'avons pas pris les Ministres a permis l'Etat et les bureaucrates des syndicats de se récupérer des coups dont ils ont subi le nuit avant."(23)
Le CGT negotié ce qui deviendra connu comme "l'Accorde Grenelle",
une suite des gagnes réformiste remarquable: augmentation de SMIC
par un tiers, augmentation de tout salaire par 7% effective dorenavant
et encore 3% en octobre. Réduction des heures du travaille, augmentation
des allocations familiales, dédommagament de 50% des salaires perdues
par le grêve. Ces gains pour l'aristocratie du travaille étaient
les meilleures des négotiation syndicales en 30 ans.(24) Et
le tout payé par le prolétariat du tiers monde.
Le PCF alors rentrait à ce qu'il faisait depuis toujours: s'intégrer
avec les démocrates-sociales et devenir une partie politique "respectable"
pour participer aux gouvernements et faire de la concurrence contre le
gaullisme -- sur les termes de la démocratie bourgeoise. Le PCF
a appellé pour le fin des grêves, et acceptait l'accorde Grennelle
et l'élection d'un gouvernement "populaire". Francois Mitterand
était le candidat choisi pour former cette nouvelle coalition de
la "gauche".
Mille-deux-cent étudiants ont arrêté des voitures
des ouvrières pour les dire que de révenir au travaille sera
de la trahaison.
(Cohn-Bendit n'explique pas pour quoi les travailleurs avaient besoin
des étudiants pour les dire!)
Trois jours du bataille ont suivi entre les étudiants et travailleurs contre les CRS (Comités Républicains de Surêté, connu partout en Europe pour leur brutalité). Cette lutte était contre le conseil du CGT qui donné l'avertissement:
"Opposer rigoreusement toute essai de méconduire le mouvement des travailleurs. Pendant que les négotions se font dans l'industrie sidérurgerie et pendant que les consultations continue pour revenir au travail dans les autres secteurs, des essaies de la provocation dangereuse se font. Ils prendrent la forme de mettre en question nos succés incontestables et de méconduire les travailleurs aux caprices d'aventures."(25)Cohn-Bendit n'acceptait pas que le réformisme étaient dans l'intérêt des travailleurs, et alors il lit les déclarations du CGT comme étant opposé aux intérêts des travailleurs. De fait le CGT, en prônant aux ouvrières d'être raisonnable, ne faisait que répéter en France ce que la partie travailliste a déjà gagné en Angleterre: une position solide pour la classe travailleure comme protégé de la bourgeoise
Pendant les combats, un étudiant maoiste appartenant au UJC-ml était tué après d'être poursuivi par la police. Cohn-Bendit reclame ce martyr comme propre à son mouvement sans dire que l'étudiant était Maoist.(26) Les Maoists, cherchant toujours de "servier le peuple" faisaient des efforts prodigeux pour servier une couche sociale dont ils erroné vu comme prolétariat. Bien que le MIM a une désaccorde fondamental avec la politique du UJC-ml's, qui fait de la sucette à l'aristocratie du travaille, le MIM aussi va insister que les anarchistes réconnaissent les contributions de Maoists -- et les tenir coupables quand ils ne le font pas.
"Ce changement doit se passer dans notre vie et non pas pour nos enfants, car la révolution doit être né de la joie et non de la sacrifice"(28) Mais la révolution concerne à la fois la joie et la sacrifice, comme ceux qui ont faisait dira au Cohn-Bendit.
En fin de compte, la difficulté de la gauche Francais n'était pas, comme disait Cohn-Bendit, que la pensée scientifique et l'avant garde soient incorrecte. Son problême était qu'il ne pouvait pas réconnaître les conditions matérielles que l'impérialisme présentait à la classe ouvrière que la gauche cherchait cherchait de servir.
Le UJC-ml (Maoiste), dans son journal "Servir le Peuple," a soutenait correctement Stalin, Mao, et soutenait la front national de la libération en Algérie et d'autres luttes. Mais son mécompréhension du caractére des travailleurs du premièr monde le ménait à lutter en vain pour améner les travailleurs francais au maoisme. Plusieurs jeunes révolutionnaires ont quitter leurs études pour travailler dans des usines, rendant service à l'aristocratie du travaille, ce qui est erroné. Pire, dans les évenements du mai, en prônant que les travailleurs font de la rébellion pour gagner des concessions matérielles ils ont gagné la rôle d'arrière garde pour les anarchistes.(29)
En revanches, des travailleurs jeunes et étudiants ont bien aimé l'agende anarchiste du Mouvement du 22 Mai car il s'addressait aux vrais concernes dont ils avaient. Leur message de "détruire cette société car il est injuste et alienant" avait de la vérité pour la jeunesse de la France. La jeunesses des classes objectivement opprimantes vont parfois abandonner les incitations matérielles d'engagement dans l'opprime et travailleur plutôt pour la justice et des récompenses subjectives. Et cela est probablement qu'une minorité très pétite. Sans adopter la perspective des personnes vraiment opprimé (le prolétariat international) cette energie révolutionnaire manquera de l'alimentation et la fondement nécessaire pour faire de la révolution.
Mais ce qui manquait c'était une partie d'avant-garde. L'Absence de cette vangarde explique non seulement la réussite de l'aristocratie du travaille représenté par le PCF. Il explique aussi que même si le gouvernement soit renversé que la vide politique qui suivra ne sera rempli que par l'aristocratie du travaille. Le peu des Comités d'Action Anarchiste, qui avait que peu de soutien et manquait totalement de la coördination dans leurs efforts, ne pouvait nullement remplir cette vide -- et ils ne voulaient pas le confronter.
Le problême alors de l'anarchisme c'est qu'il n'a pas la capacité à construire ou consolider le pouvoir du peuple pour combattre le pouvoir d'Etat. Cohn-Bendit pleure les larmes d'un crocodil quand il parle des essaies du CGT à méconduire les travailleurs dans la crise politique -- mais des ménaces beaucoup plus grand sûrement apparaîtra une fois le gouvernement capitaliste se tombait. Il n'existe aucune "alternative" rhétorique et spectaculaire pour la ligne politique correcte et les efforst correctes et coördonnés.
Notes:
1. Ronald Fraser, ed. 1968: A Student Generation in Revolt. Pantheon Books: New York, 1988. p. 203
2. Daniel Cohn-Bendit, trans. from German Arnold Pomerans, Obsolete Communism: The Left Wing Alternative, New York: McGraw-Hill, 1968 p. 24.
3. Ibid., p. 29.
4. Insults about Cohn-Bendit's German citizenship were common, the PCF's newspaper deriding him as a "German anarchist." This led to the chant among students of "We are all German Jews." Richard Johnson, The French Communist Party versus the Students: Revolutionary Politics in May-June 1968, New Haven: Yale University Press, 1972, preface.
5. Cohn-Bendit, op. cit., p. 35.
6. A key rallying point for the students was the distinction between the slogan of the French Communist Party (PCF): "Peace in Vietnam," and their own: "The FNL will win." Daniel Singer, Prelude to Revolution: France in May 1968, New York: Hill and Wang, 1970, p. 56.
7. Cohn-Bendit, op.cit., p. 32.
8. The reason for this error is hard to pinpoint. Cohn-Bendit criticizes the PCF for pointing to "a handful" of bosses rather than class interests as they existed, but does not show how his own finger-pointing at foreigners is dissimilar.
9. Cohn-Bendit, p. 44.
10. Patrick Seale and Maureen McConville, Red Flag/Black Flag: French Revolution 1968, New York: Putnam, 1968, p. 49.
11. Cohn-Bendit, op. cit., p. 91.
12. Ibid., p. 91.
13. Ibid., p. 107.
14. Ibid., p. 47.
15. The UJC-ml was for the most part not participating in the university events as of this point, focusing on their work in factories and skeptical of the strategy of provocation that posed great risks to revolutionaries. Alain Touraine, Le communisme utopique: le mouvement de mai 1968, Paris: Editions du Seuil, 1968, p. 122.
16. The Latin phrase he uses is from French Catholic lingo of the day which reflects on his mystical adoration of leaderlessness.
17. Cohn-Bendit, op. cit., p. 61.
18. Ibid, p. 103.
19. Ibid, p. 69.
20. Ibid, p. 70.
21. Ibid, p. 70.
22. Ibid, p. 71.
23. Ibid, p. 71.
24. Bernard E. Brown, Protest in Paris: Anatomy of a Revolt, Morristown, NJ: General Learning Press, 1974, pp. 20-21.
26. Touraine, op. cit., p. 186.
25. Cohn-Bendit, op. cit., p. 76.
27. Ibid., p. 112.
28. Ibid., p. 112. Amerikan Yippie Jerry Rubin said the same thing: "We are not going to organize the people around our ability to suffer. We are going to organize the people around our ability to have fun and to survive." We Are Everywhere, Harper & Row, N.Y: 1971. p. 232.
29. Brown, op. cit., pp. 78-80.
30. The Makhno movement and the Krondstat rebellion, major issues that many anarchist theorists bring up regularly, are discussed elsewhere in this theory journal. Cohn-Bendit's arguments are by no means original, so turn to page XXX for MIM's response.
31. The bourgeois apologist famous for recognizing the anarchism of the students as being a step backward in historical development, Raymond Aron, is wrong on many scores but has stumbled across this correct analysis. He uses the point in a fundamentally different way, however, to suggest that the anarchists would either become bourgeois with age or become "Stalinist totalitarians" like their elders in the PCF. MIM would challenge anarchists to instead take note of historical developments after revisionism took power in the Soviet Union, which is to say, work for Maoism. Raymond Aron, trans. from French Gordon Clough, The Elusive Revolution: Anatomy of a Student Revolt, New York: Praeger Publishers, 1969.