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révisé et corrigé par MC5, août, 1999, et novembre, 1999
1. Jusqu'à 30 millions de personnes sont mortes pendant le Grand Bond en
avant à cause de famine et d'exécutions provoquées par Mao.
2. Il y avait de la violence très répandue commise par Mao pendant la
Révolution culturelle.
3. Mao s'opposait aux intellectuels, à l'éducation et à l'individualité.
Le Grand Bond en avant--« Mao était boucher »
Des spécialistes occidentaux ont estimé qu'entre 16,4 millions et 29,5
millions de personnes sont mortes pendant Le Grand Bond en avant. (1) Un
argument fréquent affirme que la cause était des exécutions commandées par
Mao et le Parti communiste chinois. Ceux qui comprennent un peu plus
l'histoire de la Chine connaissent la famine et les catastrophes naturelles
pendant cette période. Cependant ils attribuent souvent ces morts de faim
aux programmes méchants et à la mauvaise gestion de l'industrialisation et
de la distribution des biens.
Le premier problème avec ces mythes, c'est qu'ils sont fondés sur des
statistiques inexactes. Les chiffres de mortalité tellement hautes sont
dérivées de comparaisons de la population prévue et la population réelle.
Cette méthode présume la croissance constante de la population, ce qui est
loin de la réalité pendant des périodes tumultueuses de l'histoire telles
qu'une révolution. Les statistiques sont aussi dérivées de chiffres fournies
par la bourgeoisie et les révisionnistes, des ennemis du Grand Bond.
En réalité, les morts attribuées au Grand Bond en avant (1958-60) étaient
dues à la famine, en particulier à la suite du Grand Bond (1960-1), pas aux
exécutions. L'inondation et la sécheresse ont eu des répercussions sérieuses
sur plus de la moitié de la terre chinoise pendant cette famine-là. L'Union
soviétique a retiré son aide industrielle en 1960, provoquant pratiquement
une halte à la plupart de l'industrie chinoise. L'Union soviétique avait
promis de fournir environ 300 usines industrielles modernes, mais jusqu'à
1960 seulement 154 étaient finies. (2) Des milliers de techniciens
soviétiques qui étaient en Chine pour aider le développement industriel sont
partis en l'espace d'un mois, enlevant avec lui leurs plans et arrêtant les
cargaisons de matériaux. (3)
Mao a tout à fait avoué que le gouvernement était responsable de 800 000
exécutions de 1949 et 1954. C'étaient des exécutions approuvées par la base
et faites dans des procès populaires contre les propriétaires et les
éléments pro-japonais (pro-impérialistes) les plus détestés qui avaient
terrorisé les masses pendant la Seconde Guerre mondiale et à sa suite. (4)
Ni Mao ni le Parti communiste chinois a dit que le Grand Bond en avant n'ait
pas eu d'erreurs. L'autocritique est une partie importante du maoïsme, et
Mao lui-même a écrit des autocritiques sur certaines pratiques du Grand
Bond. À la différence des Soviétiques, les Chinois reconnaissaient que
certains de leurs objectifs étaient trop hauts et déraisonnables.
Il n'est pas étonnant que ces mythes soient si activement propagés par les
pays capitalistes, qui méritent beaucoup plus l'étiquette « boucher ».
Chaque année quatorze millions d'enfants, dont la plupart sont des pays
capitalistes d'Asie, meurent de faim. (5) Avec les méthodes des spécialistes
et des médias bourgeois, nous pouvons calculer que 75 980 Noirs sont morts
aux États-Unis en 1986 à cause de soins médicaux insuffisants. (6) Si les
États-Unis étaient si grands que la Chine, cela impliquerait la mort de plus
de 300 000 Noirs par an ! (2,5 millions de personnes mortes par an s'il y
avait autant de Noirs comme des Chinois.)
Si la Chine, avec un quart de la population mondiale, n'avait pas été
libérée par Mao et le Parti communiste chinois, cette situation serait
beaucoup pire aujourd'hui. En fait, 22 millions de Chinois sont morts de la
faim pendant la Seconde Guerre mondiale, grâce à l'impérialisme japonais et
le régime soutenu par les É-U. Sous Mao et le Parti communiste chinois,
l'espérance de vie du peuple chinois est doublé de 35 ans sous le régime
capitaliste Kuomintang à 69 ans. (7) Par contre, la faim chez les pays
capitalistes et le soins médicaux insuffisants pour les Noirs aux État$-Uni$
sont tant ordinaires et tant blanchis qu'aucun politicien ne prend la peine
de faire l'autocritique ou de mentionner les problèmes.
La Révolution culturelle est autre cible favorie par les impérialistes.
L'analyse occidentale attribue fréquemment à Mao toute la violence de la
période 1966-76.
Bien qu'il n'y ait eu qu'une poignée d'observateurs occidentaux en Chine
pendant la Révolution culturelle, la plupart des observateurs occidentaux
attribuent volontiers des centaines de milliers ou des millions de morts à
la Révolution culturelle. D'ordinaire il n'y a pas de détails parce qu'il
n'y a que très peu de rapports de première main par des Occidentaux. Aucun
Occidental ne peut prétendre avoir fait une investigation compréhensive.
Quoiqu'il soit possible qu'il y ait eu des millions de morts pendant la
Révolution culturelle, elles n'étaient pas commandées par Mao. Mao a
commandé explicitement que la Révolution culturelle soit non-violente. Les
directives du Comité central du parti communiste ont affirmé que « Quand il
y a un débat, il devrait se faire avec la raison, pas avec la coercition ou
la force. » (8) De surcroît, la violence pendant la guerre civile était en
grande partie la responsabilité de factions opposées à Mao.
Les ennemis de Mao en Chine étaient plus réalistes que les propagandistes
occidentaux. Ils ont blâmé Mao et ses partisans, la nommée Bande des Quatre,
pour, au total, 34 000 exécutions ou morts causées par d'autres moyens de
répression pendant les dix ans de la Révolution culturelle. Si les ennemis
de Mao ont raison, est-ce que les 34 000 ont dû être exécutés ? Le MIM ne
connaît pas les faits. Personne ne les connaît, sauf les partisans
incarcérés de Mao, ses ennemis de haut rang dans le parti et les masses en
général, desquelles les opinions n'ont pas été sollicitées systématiquement
par des critiques à l'extérieur.
Mao, en faisant autocritique, a affirmé qu'il y avait eu trop d'exécutions
pendant la Révolution culturelle. En disant cela, Mao a exprimé sa
philosophie, qui est aussi celle du MIM. Selon Mao, il est peut-être
justifiable d'exécuter un meurtrier ou quelqu'un qui fait sauter une usine ;
cependant, dans la plupart des cas, y inclus tous les cas dans les écoles,
le gouvernement et l'armée, Mao croyait : « Qu'est-ce qu'il y a de mal à ne
pas exécuter les gens ? Ceux disposés à la réforme par le travail devraient
allez se réformer par le travail, afin que les ordures soient transformées
en quelque chose d'utile. D'ailleurs, les têtes ne sont pas comme des
poireaux. Si on les coupe, elles ne repoussent pas. Si l'on coupe une tête à
tort, il n'y a pas de façon de rectifier l'erreur même si l'on veut. » (9)
Si des gens s'appellant maoïstes ne s'ont pas acquitté de cette philosophie,
le MIM ne les défend pas. Le MIM sait néanmoins bel et bien, et les
statistiques sont disponibles pour tous même aux États-Unis, que Mao a
accompli le plus de tout chef politique du siècle et probablement de toute
l'histoire en réduisant la violence en toutes ses formes.
Même beaucoup des ennemis de Mao qui ont été purgés (expulsés) du parti ont
survécu. Deng Xiaoping, chef actuel de la Chine [il est mort en 1997--mc5],
a survécu la purgation comme le révisionniste du deuxième rang et a été
envoyé au camp de rééducation. Les 3-4 juin, 1989, Deng a ordonné à l'armée
de tirer sur des centaines de manifestants dans la rébellion à Beijing.
Cette violence n'est bien sûr qu'une partie petite de la violence causée par
la restauration du capitalisme en Chine.
Mao et le Parti communiste chinois, avec peu d'aide de l'extérieur, ont
amené des changements majeurs dans un pays en voie de développement pendant
qu'ils faisaient une révolution et une guerre civile. Il est erroné de tenir
pour responsable le Parti communiste chinois, ou en particulier Mao, un
individu, de tout ce qui s'est passé sous leur direction. Aux États-Unis, un
pays développé qui ne fonctionne pas dans des conditions d'aucune façon
pareilles à celles de la République populaire de Chine (1949-1976), chaque
année il y a 20 000 meurtres, 75 000 morts de Noirs à cause de l'oppression
nationale systématique, la mort d'un ouvrier de causes liées au travail
toutes les cinq minutes et la mort d'un enfant toutes les 50 minutes à cause
du manque de nourriture ou d'argent. (10) Mais nous n'entendons dire presque
jamais que les victimes de la violence capitaliste sont « tuées » par les
présidents Reagan, Bush, Clinton et cætera, comme nous l'entendons dire
souvent des morts de faim sous Mao.
Beaucoup d'Occidentaux croient que Mao s'opposait à la « vraie » éducation
et aux « intellectuels » pendant la Révolution culturelle et que les écoles
étaient des instruments pour le « lavage de cerveau » et la « propagande ».
Ces croyances-ci viennent d'histoires de la fermeture d'universités en
Chine, des nouvelles conditions et nouveaux règlements pour les manuels et
les recherches et des nouvelles limites sur les types d'art et de théâtre
encouragés ou permis. Une partie de ces renseignements a été apportée aux
Occidentaux par des intellectuels chinois qui ont quitté la Chine avant ou
pendant la Révolution culturelle : ils ont quitté car ils croyaient que leur
mode de vie et leur standing étaient menacés par ces changements.
Les Occidentaux définissent la « vraie » éducation comme celle qui ressemble
aux sujets et aux ordres du jour occidentaux ; i.e., l'étudier l'histoire et
la littérature à partir du point de vue des oppresseurs et des
impérialistes, les mathématiques et la science avec le but de recherches
visés à des avances technologiques ou médicales qui augmentent la richesse
et le pouvoir des classes dirigeantes et étudier jusqu'à l'expertise et le
prestige académique mais sans mettre l'accent sur l'expérience pratique ou
l'utilité pour la communauté.
Les Occidentaux perçoivent l'éducation chinoise sous Mao comme de la «
propagande » parce qu'elle encourageait des valeurs et des buts qui
contredisent les buts du capitalisme. Ces valeurs et buts enseignés en Chine
pendant la Révolution culturelle correspondaient à la construction du
socialisme. L'éducation aux nations occidentales n'est pas perçue comme de
la « propagande » par ceux qui, consciemment ou non, s'ont d'accord avec les
buts du capitalisme/impérialisme et du patriarcat. Également, la publicité
pour les produits capitalistes, bien que reconnue comme très influente sur
les opinions et les actions des gens, n'est pas perçue comme du « lavage de
cerveau » par ceux qui profitent du capitalisme et qui donc ont décidé de la
supporter.
Les perceptions occidentales des attitudes maoïstes envers l'éducation, les
intellectuels et l'art sont fondées en grande partie sur des renseignements
des Chinois qui ont rejeté le socialisme ou d'étrangers qui ont examiné les
événements en Chine d'un point de vue extérieur. Vous pouvez gagner une
image plus réaliste de la révolution d'éducation en Chine en lisant des
livres par des auteurs qui soutiennent ce qui est le mieux pour la plupart
du peuple et qui participaient profondément aux changements de l'ère. Par
exemple, Hundred Day War: The Cultural Revolution at Tsinghua
University de William Hinton explique comment la socialisme s'est
développé et comment les vieilles idées oppressives sur l'éducation ont été
démantelées dans un institut célèbre de science et d'ingénierie :
« Maintenant les étudiants passent autant de temps aux usines et sur les
sites de construction au Grand Pékin qu'ils passent aux salles de classe et
aux laboratoires, et les professeurs consacrent autant d'énergie au
développement de liaisons avec les dizaines d'usines et d'entreprises
auxquelles l'université est liée qu'ils consacrent à faire des conférences
et à conseiller les étudiants. Des jeunes gens et jeunes femmes privilégiés
ne retireront plus au pays de merveilles bordé d'arbres qui s'appelle
Tsinghua pour y passer le temps à lire jusqu'à ce qu'ils soient trop âgés
pour pouvoir rire. Ils ne se farciront plus la tête de formules
mathématiques concernant les pratiques industrielles désuètes de l'Europe et
l'Amérique d'avant-guerre, ne sueront plus sur les examens genre « attaque
surprise » pour sortir, après des années d'isolation de la production et la
participation politique, incapables de distinguer l'acier à haut degré de
carbone et l'acier ordinaire ou un "révolutionnaire prolétarien" et un
"révisionniste".
« À l'école primaire on est mortellement sérieux de lire des livres.
Avant sa mort, Mao a dit qu'il voulait qu'on se souvienne seulement comme
« enseignant ». Mao ne s'opposait pas à l'éducation. Il s'opposait à
l'éducation de style occidental à cause de sa fonction dans la création et
la justification de classes intéressées qui ne servent pas forcément le
public. Au contraire, l'éducation et les intellectuels ne devraient servir
que le public, et pour supporter cette doctrine-ci, Mao a ordonné aux
intellectuels d'aller vivre avec les paysans pour aider les paysans, pour
éduquer les paysans et pour se faire éduquer par les paysans.
La plupart de la population chinoise était pauvre et analphabète et n'avait
que très peu d'accès aux besoins fondamentaux, à l'éducation ou au soins
médicaux. Quant à l'éducation médicale, Mao a dit en 1965 : « L'éducation
médicale devrait être réformée. Il n'y a pas de besoin de lire tant de
livres... Il suffira de donner trois ans [de formation] aux diplômés des
écoles primaires. À la suite ils feraient des études et élèveraient leurs
standards en grande partie dans la pratique. Si ce type de médecin est
envoyé au paysage, même s'il n'a pas de grands dons, il servira mieux que
les charlatans et les sorciers et les villages pourront mieux se permettre
de le garder... la formation [actuelle] des médecins ne sert que les grandes
villes. Pourtant en Chine plus de 500 millions de notre population est
paysanne. » (12)
Et en fait, l'un des programmes socialistes développés était les
aides-soignants [NDT : « médecins aux pieds nus » en chinois et en anglais],
qui étaient des paysans formés pour quelques mois dans les soins
fondamentaux et qui puis travaillaient dans leurs villages pour prévenir les
maladies et les blessures, pour améliorer l'hygiène publique et pour traiter
des problèmes médicaux ordinaires. (13)
Le texte suivant est l'ordre publié par le Comité central du Parti
communiste chinois (PCC) au début de la Révolution culturelle en 1966 :
« En ce qui est des scientifiques, des techniciens et des autres membres
ordinaires des équipes de travail, tant qu'ils seront patriotes,
travailleront avec énergie, ne s'opposeront au parti et au socialisme et ne
maintiendront aucune relation illégale avec aucun pays étranger, pendant le
mouvement présent nous devrions continuer à appliquer la politique d'"unité,
critique, unité". » (14)
Le système d'éducation en Chine a été vastement amélioré. Des anciens
manuels capitalistes ont été mis à côté et des nouveaux manuels ont été
utilisés pour l'instruction de l'histoire et la politique d'un point de vue
de la majorité du peuple. Par exemple, Fundamentals of Political Economy:
A Popular Introductory Marxist Economics Text[c.-à-d. Fondamentaux de
l'économie politique : un manuel élémentaire de l'économie marxiste pour le
peuple] est publié en 1974 (Presse populaire de Shanghai) et étudié par
les écoliers. En plus, le taux d'analphabétisme en Chine a baissé de manière
remarquable.
Malgré ces améliorations majeures, pas toutes les réformes d'éducation
étaient correctes. Il y avait des soi-disants « maoïstes » qui préconisaient
des attaques contre tous les intellectuels et 95 % des membres du Parti
communiste pendant la Révolution culturelle. Mao a nommé ces gens «
ultragauchistes » parce qu'ils utilisaient le langage et les idées
socialistes pour justifier des actions extrêmes sans essayer de disputer
avec ces intellectuels et les encourager à s'amender. (15)
Notes :
1. Roderick MacFarquhar, spécialiste bourgeois célèbre sur la Chine, dit que
de 16,4 millions à 29,5 millions sont morts. Origins of the Cultural
Revolution: Great Leap Forward 1958-60 (New York : Columbia University
Press, 1983), p. 330.
2. Wheelwright, E.L. & McFarlane, Bruce. The Chinese Road to Socialism:
Economics of the Cultural Revolution (New York: Monthly Review Press, 1970),
p. 35.
3. Ibid, p. 53.
4. « Qui avons-nous exécuté ? Quel type de gens ? Les élements qui étaient
énormément détestés par les masses et qui étaient criblés de dettes de
sang. » (Chairman Mao Talks to the People, New York : Pantheon Books, 1974),
p. 77. Mao a dit aussi que moins d'éxecutions seraient faites à l'avenir.
(Ibid., 78)
5. Selon Ruth Sivard, le chiffre pour le monde entier est 14 000 000 par an.
La grand plupart passent aux pays capitalistes d'Asie. World Military and
Social Expenditures 1987-8, p. 25.
6. Dans la comparaison des populations Noire et blanche du même âge aux
États-Unis, le taux de mortalité des Noirs était 7,8 par mille en 1986 et
5,2 pour les blancs. (Statistical Abstract of the United States 1989, p. 74)
Il y avait 29,223 millions de Noirs en 1986. (Ibid.)
7. Associated Press dans Ann Arbor News, 10/1/89, b9.
8. Comité central du Parti communiste chinois, 8/8/66 dans People's China:
Social Experimentation, Politics, Entry onto the World Scene 1966 through
1972 (New York : Vintage Books, 1974), p. 277.
9. Chairman Mao Talks to the People, p. 78.
10. Vincente Navarro, "Historical Triumph: Capitalism or Socialism?"Monthly
Review, novembre, 1989, p. 49-50.
11. Hinton, William. Hundred Day War: The Cultural Revolution at Tsinghua
University (Monthly Review Press, New York et Londres, 1972), p. 13-14
12. "Directive on Public Health, June 26, 1965" Chairman Mao Talks to the
People: Talks and Letters: 1956-1971, éditeur Stuart Schram, Pantheon Books,
1974, p. 232.
13. Le programme d'aides-soignants a commencé aux années 1950 et a grandi
jusqu'au milieu des années 1970. Ils utilisaient le manuel paramédical
officiel chinois A Barefoot Doctor's Manual, Running Press, 1977.
14. Comité central du PCC, 8/8/66, in Chairman Mao Talks to the People, p.
281
15. Pour lire des exemples d'essais par des ultragauchistes opposés au
maoïsme, voir the 70s, China: The Revolution Is Dead, Long live the
Revolution, Montréal : Black Rose Books, 1977
[NB : Nous vous demandons d'excuser les nombreuses coquilles et fautes de
grammaire dans les versions antérieures de cet article. Heureusement, il n'y
a pas eu d'erreurs de contenu. Utilisez, s'il vous plaît, cette version-ci.
MC5]
publié dans « MIM Notes » 40, le 4 mars, 1990
révisé septembre, 1995, par deux camarades RAIL La Révolution culturelle--« Mao a commis de la violence »
Les intellectuels et l'éducation étaient répressés sous Mao
« À l'école secondaire on lit les livres morts sérieusement.
« À l'université on lit sérieusement les livres jusqu'à la mort ! » (11)