Le communisme est l'abolition du pouvoir des gens sur les gens. Cela implique l'abolition de « l'oppression », soit-elle des nations par des nations, des classes par des classes, des femmes par des hommes ou n'importe quelle autre division dans la société. Le communisme est fondé sur la coopération mutuelle, la paix et la justice au lieu de l'oppression.
Beaucoup de personnes ont des intentions communistes, c'est-à-dire, elles veulent abolir l'oppression et elles prétendent travailler pour le communisme. Puisque le MIM juge les mouvements politiques selon leurs effets à long terme par rapport à d'autres vrais mouvements, le MIM encourage les gens avec des intentions communistes à étudier et à appliquer le marxisme-léninisme-maoïsme, ce que nous croyons avoir fait preuve d'être la route la plus efficace qui mène au communisme. Le MIM réserve le terme « communiste » à ceux qui partagent nos vues des efforts historiques aux pays étrangers à progresser vers le communisme et à appliquer la méthode de matérialisme dialectique aux problèmes actuels. Les questions qui divisent les communistes impliquent une compréhension des deux expériences les plus grandes et les plus socialistes : la Chine et l'Union soviétique. Le MIM croit que les communistes doivent être d'accord sur deux questions importantes :
1. L'Union soviétique était un pays capitaliste d'État. Cela veut dire que bien que la Révolution bolchévique de 1917 ait mis la Russie sur le chemin qui mène au communisme--et la route socialiste a été suivie sous Staline--la lutte enfin est perdue et la restauration bourgeoise dans l'URSS est révélée quand elle a choisie les méthodes et l'économie capitalistes. Le même processus de restauration bourgeoise a eu lieu en Chine après la mort de Mao et l'arrestation de la nommée Bande des Quatre. Le capitalisme d'État veut dire que l'État gère l'économie selon la comptabilité capitaliste telle que la rentabilité et les marchés, pas selon les besoins humains. Il y a une classe d'État de bureaucrates qui contrôle la production, une bourgeoisie d'État.
2. La Révolution culturelle chinoise était l'avance historique la plus grande vers le communisme. En Chine, depuis 1966 jusqu'à 1976, la société entière a été mis dans un état de révolution interne, surtout la mobilisation des ouvriers, des étudiants et des paysans contre la bureaucratie du parti pour la rendre plus responsable aux masses. Elle était une restructuration des services de santé, de l'éducation, du travail et des valeurs culturelles jusqu'à la vie quotidienne. Cela a terminé en 1976 quand la « Bande des Quatre », les successeurs de Mao, sont arrêtés dans un coup d'État.
Les communistes au premier-monde et dans les nations opprimées entre les frontières impérialistes doivent être d'accord sur une troisième question :
3. Les classes ouvrières des nations impérialistes ne sont pas exploitées et ne sont pas révolutionnaires à présent. Comme une aristocratie ouvrière, elles ont des intérêts opposés à ceux du prolétariat international.
Au tiers-monde, cette question est importante dans la lutte pour distinguer les amis internationaux des ennemis. Cette question n'est cependant pas d'importance critique au tiers-monde.
Pour finir, les communistes croyons qu'un parti communiste--pas seulement l'organisation de façon ad hoc ou individuelle--est nécessaire. Le MIM accepte comme membres ceux qui comprennent et acceptent ces trois positions et qui exécuteront la discipline du parti sur toute autre question. Cela implique le soutien public de la ligne du parti, c.-à-d. le centralisme démocratique.
Les gens travaillants pour une fin à l'oppression qui ne sont pas d'accord avec le MIM sur ces trois questions ou qui ne croient pas la nécessité d'un parti seraient à leur place dans des autres organisations--organisations que le MIM croit être des tendances politiques déjà vues moins efficaces dans l'abolition de l'oppression.
Le MIM exprime l'unité générale avec tout autre groupe et éruption contre l'impérialisme : les formes des mouvements des masses contre l'oppression sont tant diverses que les formes de pouvoir. Dans cet esprit, le parti tient à dire aux gens la pure vérité et dispute et critique la stratégie et les tactiques de n'importe quelle action proposée.
Le MIM encourage tous, communistes ou non, à prendre part à la lutte contre l'impérialisme.
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