MIM rend hommage au tôt Jean-Luc Godard
Entretiens avec Jean-Luc Godard (Anglais)
David Sterritt, Redacteur
(Jackson, Mississippi: University of Mississippi Press, 1998) 203 pp.
[Note du traducteur: tous les citations du Godard sont retraduites de l'anglais. Merci de votre compréhension des difficultés grammaticales.]
MIM commence cette revue par un autocriticisme pour la paresse par rapport au travail en filme. Bien que MIM a connue le travaille du Goddard depuis la formation du MIM, il n'a jamais addressé Godard, même seulement au stade théorique ou d'opinion publique. Cela a retardé inutilement le mouvement d'art prolétaire. Jean-Luc Godard était un Maoist francai aux années '60s-'70 et il était aussi le réalisateur la plus influentielle du monde, Hollywood excepté
La Ligne Politique du tôt Godard
Godard dans son âge de la force a bien faisait beaucoup pour le mouvement Maoiste. Une lecture de ces entretiens a une communauté avec l'autobiographie du David Hilliard, car leur trajet est pareil. Godard était une réussite extraordinaire comme Maoiste, puis ne pouvait tenir son Maoisme, exactement comme les Panthers. Pendant que Godard faisait ses contributions dans son troisième, et non son deuxième, décennie de la vie, le proverbe vieux "qu'on se solde au système avec l'âge" paraît s'appliquer; vers les années '90 les editeurs appellait son oeuvre "post-moderne".
Comme personne aux années '60 et '70 Godard soutenait Mao tout en critiquant Stalin, y compris "L'art Staliniste", ce que nous interprétons d'être l'art soutenu par l'Etat, et d'une qualité médiocre (lit: "bad"). Cela avait pour effet que Godard disait des bonnes choses sur la Yugoslavie où il y avait des cinéastes indépendantes. Certes, dans la Chine de la révolution culturelle, on mettait l'accent sur l'art populaire, des paysans et ouvrières qui a créée leur propre art. Néanmoins, pendant que nous notons les distinctions Godard faisait, nous continuons de défendre l'art professionnelle soutenu par l'Etat sous la dictature prolétarienne et nous estimons sa nécessité au moins jusqu'aux rudiments du communisme.
Notre seule autre plainte possible contre Godard sera son ligne sexuée. Depuis que le queue est si dominante dans la ciné impérialiste, Godard a developpé une ligne sur cette question aguillé comme une rasoir. Une partie de cette ligne est feministe et évoque le schisme entre les Marxistes masculins et les femmes apolitiques ou réactionnaires. Clare Duchen parlait dans son livre sur le pseudo-feminisme francais comme réaction au Maoisme. Sur l'autre côté, des éléments de la ligne sexuée du Godard puisse être vu comme une danse á côté de la ligne entre la révolution et le machisme. Nous devrons indiquer que, en dépit de ces faits MIM ne peut criticisé Godard avec de la justesse - car nous n'avons pas des cinéastes; i.e. nous n'avons pas démontré que nous aurions pu pouvoir mieux ressoudre la question du sexe. Nous rendons hommage à ses efforts pour faire des filmes qui n'appuyent pas sur la romance pour être visualisé. Il sera injuste de nous faire une revue de tous les filmes de Goddard dans l'espace limité ici. Peut être d'autre personnes vont proposer des revues du filmes du Goddard, après ayant vue ceux d'entre 1962 and 1976.
Comme personne, Godard a gifflé son chef à un séance, et insisté que l'audience paie pour voir son oeuvre, les fonds étant destiné aux fonds Panthères Noirs pour Eldridge Cleaver.(p. 52) En plus, Godard prôné une "Ciné Tiers Mondiste" pour indiquer ce qu'il faisait, au lieu du terme ciné "sous-terrain". (p. 11) Godard aussi a mis en contact les Rolling Stones avec ses filmes Maoistes. L'active soutien du Rolling Stones pour le Maoisme en France est un example du "Zeitgeist" du tard 60 - tot 70.
Bien que Godard a défendu la cause des travailleurs industrialisés en France en occasion, en tant qu'art son ligne sur l'aristocratie travailliste était correct. D'abord, il criticisé les bureaucrats travailleurs pour les entraves qu'ils ont faisait contre ses travaux "économie", ils exigait par exemple qu'il employé quatre personnes derrière le caméra au lieu de trois. (p. 18). Il disait que les unions étaient plus réactionnaires que les autres personnes et ont asphixié son ciné indépendante sur le plan économique. Plus cruciale, Godard avait la ligne correcte par intuition sur la méthode pour l'artiste de s'addresser aux Aristocrates Travailleurs - ce qui est d'encore plus correcte dans notre époque que les années '60s. Son avis pour l'artiste révolutionnaire était: tenir la ligne. "S'inquièter sur les motifs de la distribution impacte sur le type des filmes les gens font. Seulement en concentrant sur la production sans aucune pensée sur la distribution, irons nous pouvoir créer le type du filme qui va changer la distribution".(p. 57)
Godard sur l'art: lecons pour PIRAO
Peut être Godard est le plus connu pour être un "snobbard" de réalisateur. Il n'aimait pas trop l'éttiquette "art" pour contraster un type du film d'un autre. Mais il parlait aussi de l'idée sur la relation entre les artistes et le capitale. La conception la plus durable du Godard était la defaite de la ligne que "La Masse - c'est du Mouton" tout en même temps de construire des institutions indépendantes pour les opprimés. En '62 il n'avait pas encore crée aucun filme Maoiste - mais il était déjà étudiant assidue du Brecht. Cela signifie que Godard cherchait changer le monde par un engagment de l'audience et leur implication dans son oeuvre. Il disait déjà en 1968 "Nous devons combattre l'audience". (p. vii, 15) Cela pour MIM est une déclaration exacte des audience des pays imperialistes - liées à une majorité de petit-bourgeois et impregné par des idées réactionnaires.
Nous croyons que Godard a raison, lorsqu'il dit qu'en essence il n'y a pas de différence entre le ciné et la théatre. Alors les théories du Brecht sur l'engagement de l'audience et leur participation et le découragement du passivité sont correcte pour le filme (Godard) aussi bien que pour le théatre (Brecht). En 1962, parlant d'un de ses filmes, Godard disait: "On doit être sincère, croit qu'on travaille pour le publique et les cibler. Au début je ne me suis jamais demandé si l'audience comprendra ou non ce que je faisait, alors que je le fais maintant. Si Hitchcock, par exemple, pensait que les personnes ne vont rien comprendre, il le ne fait pas. En même temps je sens qu'on doit parfois prends l'avance - la lumière toujours peut arrivier d'ici quelques années. Mais on doit être sûre de ses positions, car si on se lance pour faire quelque chose en disant "Ils ne vont pas me comprendre - et ainsi il ne compte pas", on peut avoir tort, et il peut compter beaucoup."(p. 5) Il paraît pour MIM que bien que Godard a abandonné le Maoisme, il gardait toujours ce vu là. De fait, il prôné que la réalisation d'une filme doit être une critique aussi du processus de la création du filme, alor paraît il que Godard restait auto-critique et qu'il regardait cet autocriticisme comme élément scientifique aussi tard que 1981.(p. 120)
Parce-que Godard avait la volonté de rassembler d'art que la masse ne comprendra pas toujours, il a gagné l'ettiquette "abstrait", quoiqu'il s'pposait à cette ettiquettage. Il explicitement se regardé Marxist-Leninist. Le rejet du masse pour le travaux du Godard était conséquent de son refus d'employer la violence et la sexe comme les cinéastes imperialistes font. MIM croit qu'il n'est pas réaliste d'avoir une expectation que les cinéastes prolétaires auraient plus de réussite que les journalistes prolétaires. Godard a bien compris l'influence du capital sur le ciné. Pour cette raison là, il se prenait comme putain. Son opposition alors se tombait sur le gigolo - le capitaliste financier guisé en cinéaste qui est d'habitude distingué de l'artiste-réalisateur. Goddard a correctement éviter l'idéalisme <<manna, tombé du ciel>>. Il a compris qu'il fera des filmes "classe économie". Par ailleurs, ses filmes etaient presque des court-metrages, ce qui a permi l'entretien minimale des comédiens professionaux.
Pour PIRAO, l'aile militante du MIM, chargé de la responsabilité pour le financement et les travaux d'infrastructure ce modelle est très logique comme exemple du comment faire de l'infrastructure nécessaire pour le ciné indépendant. (Lit: "For the MIM-led army called PIRAO that has responsibility for financial and infrastructure work this all makes sense on how to build an infrastructure for independent filmmaking.")
Les arrivistes et opportunistes du coté politique droit se rendrent aux exigences des capitalistes financières du Hollywood en se vendant. Des opportunistes de l'extrême gauche aussi tiennent au mythe d'un art indépendant inexistante, comme si parler et attendre pour son arrivé suffira pour créer du bon art et pour le distribuer. Même en 1980 et 1996 Godard a averti les artistes que "L'art et la bourse sont toujours liée". (p. 101) Sur ces ligne là, Godard a averti que la télé était le pire des méthodes de la communication, car toujours une monopole contrôllée par l'Etat; en revanche le ciné d'Hollywood avait au moins une petite autonomie. Nous croyons que cette perception continue d'être vrai, où nous voyons le télé-chiotte réactionnaire dans les pays imperialistes. Même une essai de travailler à l'intérieur du système télé echouera - comme le personnage télé Archie Bunker démontre si bien. Depuis que le télé propose aucune possibilité pour l'interactivité entre l'audience et les réalisateurs il existe une risque véritable que l'audience s'identifiera avec et donner la gloire aux charactères réactionnaires du télé, peu importe le niveau du banalité ou stupidité manifesté par ces charactères. Il n'y a aucune vite-et-rapide, propre ou sale pour subvertir la vidéo, alors nous ne devrons pas avoir l'expectation d'une réussite instantanné.
Pour conclure, Godard avait une notion très réaliste du ce qui est possible dans l'art des pays imperialistes. Nous allons être obligé de diriger une ligne entre la capitulation au Hollywood (ce qui a infusé l'oeuvre du Goddard, aussi bien que la pornographie pour Catharine acKinnon), et notre propre paresse et passivité économique ou artistique. La ligne directrice correcte à ce moment se définit par un défi aux pensées contemporaines et non pas par un gain temporaire et illusoire du popularité.
Un Appel aux Caméras
Une minorité du ciné du Hollywood est progressif. Pour atteindre au prochain niveau pour la construction de l'opinion publique et la construction des institutions indépendantes pour les opprimés, nous devons plus que jamais cueiller le meilleur du Hollywood. Nous nécessitons des cinéaistes prolétaires, ds théatres, des groupes musicales et tout autre type d'artiste. "Pour un jeun réalisateur , s'il vraiment veux entrer dans la ciné, il est facil. La difficulté se trouve de le diffuser une fois réalisé" (p. 19)
MIM fait l'appel aux jeunes, âgés, aspirant ou existante artistes d'êtres ce que le jeun Jan-Luc Godard était et travailler avec nous. Nous avons déjà une presse indépendant. Nous pouvons assister dans la publicité des travaux des jeunes Godards - alors, montrez vous!
Nos recommendations:
1. Garder votre boulot "ordinaire".
2. N'attendez pas les subventions (style: <<manna, tombé du ciel>>); anéantir la pensée-parasite et construire de l'indépendance économique et politique
3. N'aiez pas une expectation d'une réussite énorme dans les pays impérialistes, car si vous l'avez c'est du au fait de trahir une message radicale, rendant votre oeuvre inutile à la révolution.
Depuis que MIM n'a pas travaillé encore en coopération étroit avec des réalisateurs, nos premièrs efforts sera probablement d'une réussite mixte pour le mieux. Néanmoins, notre matérialisme explique pourquoi un effort quelquonque est mieux que rien. Notre espèrance c'est d'avoir au moins la réussite de Godard, bien que cela prendra des années. Pour l'instant nous devrons reconnaissons que vous aller pouvoir faire très bien simplement en copiant ce que Godard disait dans les premièrs 84 pages de ce livre.