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Maoist Internationalist Movement

MIM Notes 230                   15 Mars, 2001

Les sanctions 'intelligentes' du Colin Powell ne représentent
aucune changement dans la politique en Iraq
par un HC




La sécretaire d'Etat Colin Powell a présenté des plans pour
aiser  les sanctions contre Iraq pendant son visite d'Etat de
trois jours. Cela vient moins qu'un semaine après le
bombardement par les Etat$ Uni$ et la Grande Bretagne visant
des cibles hors de la soi-disant 'zone de vol interdite' pour
le premier fois - au moins avoué publiquement - depuis 1998.(1)
Tout en reclament d'avoir aisé les restreints sur les biens
civils, son plan encouragent encore des prohibitions sur
un bien quelconque qui puissent aider l'Iraq à s'armer. Il urge
les voisins d'Iraq à soutenir les sanctions meurtrières
vieux d'une decennie qui paraissent maintenant avec une visage
légèrement maquillé.


Les points spécifiques du Plan Powell sont moins que clairs. La
politique inscrit au présent est de restreindre que les ventes
militaires au Iraq. Mais le U$ considère tous jusqu'aux
pensements d'avoir une potentielle d'application militaire.
Vu la caractère vague du Plan Powell, et le fait que son
proposition de cibler que les importations d'application
militaire potentielle, cette nouvelle politique ne représente
aucun changement de la politique déjà en place. Alors le MIM
prévoit aucun vrai changement du niveau inacceptable de
la vie et  santé ni dans l'économie pour le peuple d'Iraq.


Avec la pression toujours augmentant du reste du monde, les
Etat$ Uni$ et Grande Bretagne continuent de soutenir les
sanctions comme un moyens pour imposer leur volonté sur Iraq.
Le première ministre anglais Tony Blair a reconnu qu'il doit
faire un rendez vous avec président Bush pour reconsidérer
la politique des sanctions contre l'Iraq. Néanmoins il a blamé
la souffrance du peuple d'Iraq sur l'absence de la volonté de
la part de Hussein à dépenser les fonds provénante de la vente
du pétrole (sous la restriction de l'ONU) pour les besoins du
peuple.(2) Ces accusations ignorent complètement que l'argent
provénante de la politique 'du pétrole pour de la nourriture'
est tenu par l'ONU dans un compte bancaire bloqué au Paris: ces
fonds là ne sont debloqués que pour payer les contrat approuvé
par le conseil des sanctions de l'ONU.


Depuis des années les impérialistes ont parlé comme si les
sanctions endommagent que Saddam Hussein personnellement.
Recemmant, grâce au travaille des plusieurs groupements diverses
pour monter la conscience de la véritable effets des sanctions
sur le peuple, des réactionnaires tel que l'ancien porcrétaire
d'Etat Albright, Blair et Powell ont changé le ton légèrement.
Ils admettent enfin que les sanctions ont de fait endommagé le
peuple d'Iraq. Mais ils maintient que c'est le faut entièr du
Hussein. Cela est l'arguementair d'un voyou: "C'est ta faut,
salaud, que t'a le nez cassé - car tu devrais payer le
'contrat d'assurance'" Autrement dite, l'extortion.


Les rapports de l'ONU même sont en train de trouer les
propositions infondées des gouvernements du Bretagne et des
U$A, qui déclarent que Hussein ne distribue pas les biens au
peuple Iraqien. L'organisation de nourriture et agricole a
affirmé que le gouvernement d'Iraq a une system efficace du
rationnement en place pour distribuer la nourriture obtenu par
la programme de l'ONU 'du pétrole pour de la nourriture'
programme qui permet au Iraq de vendre des quantités limités
du pétrole afin de nourrir son peuple. Ils témoignent que  la
programme 'du pétrole pour de la nourriture' permet une
augmentation suffisant pour nourrir tout le peuple. Néanmoins
une combination de la secheresse et des stocks agricoles limités
conséquente des sanctions ont aboutit à la faim. Tun Myat, le
coördinateur pour les droits de l'homme en Iraq, a felicité le
système pour la distribution aussi, mais a noté que les effets
des sanctions économiques minent les bienfaits d'assurer des
stocks adéquats de la nourriture. La ration alimentaire
représent la majorité du revenu pour les Iraqis. Alors afin de
survivre ils sont obligés de vendre une portion de cette
ration.(3) MIM a déjà témoigné plusieurs fois sur les conditions
de la santé en Iraq qui par ailleurs deviennent de pire en pire
aux mains impitoyables amérikkkains.
(voir e.g. MIM Notes 194,206).
 
Non seulement des mouvements du masse partout dans le monde mais
aussi les 'grandes' puissances tel que la Russie et la France
ont remis en question les sanctions en Iraq. Ils ont recemment
appellé pour une déclaration de l'ONU pour clarifier exactement
ce qu'Iraq doit faire pour terminer les sanctions.(4) Au
présent la justification pour les sanctions est le réfus d'Iraq
à permettre des fonctionnaires d'entrée sur la térritoire du
Iraq pour vérifier l'absence des armes de la masse-déstruction.
Après une décennie sans résultats, la Russie et la France
semblent de vouloir terminer la manque à gagner d'une
opportunité perdue pour de l'exploitation économique.
Ce type de conflit des intérêts parmi les impérialistes
peuvent aider à avancer la lutte pour terminer le meurtre
des Iraqis par les sanctions ONU$iens. Bien que des
investissements impérialistes en Iraq ne vont pas
aider au peuple, le MIM soutient la lutte de terminer
les sanctions car il aura l'effet pratique d'améliorer
la vie du peuple en des termes réels par la terminaison
des embargos.


MIM est d'accorde avec les commentaires de plusieurs
fonctionnaires Iraqiens sur la critiques récente des
abus des droits de l'homme en Iraq: c'est l'U$A  qui commet
de la génocide contre le peuple Iraqien en empêchant l'entrée
des médicamments nécessaires au pays. Dans l'entretemps,
les U$A ont soutenu l'I$rael  dans leur guerre
perpetuelle contre les Paléstiniens. Le rapport sur les droits
de l'homme émis par le département d'Etat U$A vers le fin du
Fevrièr 2001, a attiré beaucoup des critiques d'Iraq car
il avait une mauvaise placement. Les représentantes
Iraqiens ont reconnu  que les Etat$ Uni$ utilisent ledit
rapport pour avancer leur propre agenda politique
- et pour condamner ceux qui l'oppose.(5)


Notes:

1. The New York Times, 17 Feb 2001.

2. The New York Times, 21 Feb 2001.

3. Campaign Against Sanctions on Iraq Newsletter, Feb 2001.

4. The New York Times, 28 Feb 2001.

5. The New York Times, 14 Feb 2001.